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La résolution sur la décolonisation (1514)

6 décembre 2012

La résolution 1514 et le conflit du Sahara occidental

Il y a cinquante ans, les longs débats au sein de la commission chargée des questions politiques particulières et de la décolonisation (4ième commission) de l’Assemblée générale de l’ONU, ont conduit à l’adoption de la fameuse résolution 1514, qui énonce la nécessité de mettre fin à l’époque coloniale, en particulier sur les deux continents africain et asiatique. Le Maroc était l’un des pays directement concernés par cette résolution, surtout si on prend en considération le fait que la décolonisation du Maroc qui a progressivement perdu les régions qu’il a toujours possédé, à travers les différents accords franco-espagnols entre 1886-1912, signifie nécessairement le retour de ces régions dans le giron national marocain, conformément aux dispositions de la résolution 1514, publiée le 14 décembre 1960.   Cinq ans après l’adoption de la résolution 1514 par l’Assemblée générale des Nations Unies, une nouvelle résolution, la 2625 a été adopté et a été présenté pendant la séance plénière numéro 1883, le 24 octobre 1970, sur la base des principes du droit international, concernant les relations d’amitié et de coopération entre les Etats conformément à la charte des Nations Unies. Cette annonce insiste de manière particulière, l’importance extrême de "la charte des Nations Unies pour préserver la paix, la sécurité, le développement des relations d’amitié et la coopération entre les pays", d’autre part "convaincu que la conformité rigoureuse des Etats et leur engagement en faveur de la non ingérence dans les affaires d’aucun autre Etat, est une condition fondamentale pour garantir que les Etats vivent en paix les uns avec les autres, car l’exercice quelque forme que ce soit d’ingérence ne viole pas seulement l’esprit et la lettre de la Charte des Nations Unies, mais mène aussi à l’apparition de situations qui menace nt la paix et la sécurité internationaux".   Certains pays voisins, en plus de ceux qui s’opposent à l’intégrité du Maroc, continuent non seulement d’ignorer l’esprit de la résolution 1514 et la déclaration 26 25, mais ils brandissent  le droit à l’autodétermination des habitants du Sahara pour interdire la récupération par le Maroc de son intégrité territoriale.   A l’évocation de la résolution 1514, concernant l’octroi de l’indépendance aux pays et peuples colonisés, les Nations Unies distinguent deux problèmes différents en matière de décolonisation. Les territoires qui au moment d’être colonisés, étaient sans statut juridique international. Dans ces territoires s’applique alors l’autodétermination et l’indépendance.   D’autres territoires représentant une partie intégrante d’un Etat, et il est claire que c’est le cas du Sahara occidental, car tout simplement les relations juridiques entre le Royaume du Maroc et le Sahara occidental remontent à des siècles. Les sultans du Maroc gouvernaient le Sahara occidental, comme ils gouvernaient le reste des territoires marocains. Et ce pouvoir s’est exercé par l’émission de Dahirs. Le champ de ces Dahirs s’est élargi pour englober l’activité économique  à travers la maitr ise du commerce et de la production, notamment le domaine de la pêche maritime. Et c’était le secteur dont le monopole était, généralement, réservé aux sujets du sultan, sauf cas exceptionnel où on y renonce en faveur des étrangers. Cela concerne aussi la gestion des ports, concernant leur ouverture ou leur fermeture au commerce extérieur, selon les exigences de la politique nationale.   Les faits historiques et les documents internationaux, entre autres, un accord entre les gouvernements britannique et marocain (signé le 13 mars 1895), sur l’engagement de la partie marocaine à acheter les possessions de la  Société du nord ouest de l’Afrique à Tarfaya, ces sources démontrent que les Etats colonialistes européens reconnaissent deux principes du droit international : la souveraineté du Maroc sur ses territoires, y compris la région du Sahara, ainsi que le principe de la dénomination de peuple marocain du nord à la partie sud du Royaume vers les frontières mauritaniennes. Sur le plan pratique, le peuple marocai n a lutté dans toutes les régions du Royaume, y compris les Sahraouis, depuis des décennies, pour récupérer l’intégrité de leur pays. Et malheureusement, un petit groupe de séparatistes sahraouis a été soutenu par les pays voisins pour créer la tension dans la région et arrêter le processus d’accomplissement de l’intégrité territoriale du Royaume du Maroc.   En revenant aux décisions de l’Assemblée générale des Nations Unies, depuis le début des années 60, on peut constater que conformément à toutes les résolutions, l’Espagne a du s’adresser directement au Maroc pour la décolonisation dans la région. Dans le même cadre, le Maroc a fournit tout l’effort pour revendiquer la récupération de cette région de la part de l’administration coloniale espagnole, après son indépendance incomplète en 1956. A commencer par le discours historique de feu Mohammed V, en 1958, à 1960 quand une délégation marocaine présidée par le prince héritier à l’époque, le prince Moulay Hassan, a officiellement présenté aux Nations Unies, pendant la réunion de l’Assemblée générale des Nations Unies, une demande sur la nécessité de mettre fin à la colonisation du Sahara et son retour tout naturel au Royaume du Maroc.   Il est d’autre part connu dans l’histoire contemporaine marocaine, que de nombreux Sahraouis ont combattu contre la présence coloniale espagnole au Sahara, ce qui les a obligé à fuir vers les autres régions et villes du Maroc, en particulier Sidi Ifni et Tarfaya, qui constituaient le prolongement géographique de la région du Sahara occupé par l’Espagne….   En prenant en considération les faits historiques cités ci-dessus, la résolution 1514 des Nations Unies, nécessite une lecture précise, qui permet de conclure que toute mise en panne de l’unité nationale du Maroc est une chose qui est en opposition avec la Charte des Nations Unies, tel qu’il y fait référence dans le paragraphe 6 de la résolution 1514 : "Toute tentative visant à détruire partiellement ou totalement l’unité nationale et l’intégrité territoriale d’un pays est inco mpatible avec les buts et les principes de la charte des Nations Unies". Et cela concerne assurément le cas du Maroc  colonisé par deux puissances coloniales principales (la France et l’Espagne), qui a été obligé de lutter sur des décennies pour récupérer son intégrité territoriale nationale contre les colonisateurs européens.  

Sources : le site politique du Sahara occidental :              www.corcas.com

Voir aussi : Le portail du Sahara occidental :             www.sahara-online.net 

Le site de la culture hassanie :             www.sahara-culture.com   

Le site des villes du Sahara occidental :              www.sahara-villes.com 

Le site du développement économique du Sahara occidental:                                www.sahara-developpement.com  

Le site social du Sahara occidental :                               www.sahara-social.com

 

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6 décembre 2012

Dix bénéficiaires des échanges de visites familiales décident de ne pas retourner dans les camps de Tindouf

Dix personnes des camps de Tindouf, parmi les bénéficiaires de l'opération d'échange de visites familiales qui appartiennent à 6 familles des provinces de Laâyoune et Smara, ont décidé de s'installer définitivement dans la Mère patrie et de ne pas retourner dans les camps de Tindouf.

Selon les autorités locales, il s'agit de cinq personnes qui sont arrivées à Smara dans le cadre du voyage ayant eu lieu le 7 novembre dernier, alors que 4 autres sont arrivées à Smara et une à Laâyoune le 21 novembre dans le cadre de l'opération d'échange de visites familiales pilotée par le Haut-commissariat pour les réfugiés (HCR) entre les camps de Tindouf et les provinces du sud du Royaume.

Parmi ces intéressés, Ennajem Houssain Alioua (tribu Ait Al-Hassan) a décidé de s'installer à Laâyoune, tandis que Fatima Ahmed Moulay, Drija Moulay Laaroussi (tribu de Rguibat-Souaed), Ahouda Mohamed Salama, Aziza Mohamed Salama, Menna Mohamed Salama (tribu Rguibat, Oulad Daoud), Mbarka Magha Dihane (Tribu Riguibat, Ahl Sidi Allal), Dadi Mohamed Saleh (Tribu des Rguibat, Ahl Kassem Oulad Ibrahim), Moussa Al Mostafa Said et Ali Mohamad Ahmed Mohamad (Rguibat, lbihat) ont décidé de vivre à Smara.

Le libre choix de ces personnes de rester à la Mère patrie parmi les leurs vient réaffirmer la volonté sincère des citoyens sahraouis séquestrés dans les camps de Tindouf de mettre un terme au calvaire vécu dans ces camps, situés sur le territoire algérien et dans lesquels le Polisario perpètre de graves violations des droits de l'Homme, dont ont témoigné plusieurs organisations internationales de défense des droits de l'Homme, allant de la torture et de l'enlèvement jusqu'au détournement de l'aide humanitaire destinée aux populations des camps.

Sources : le site politique du Sahara occidental :              www.corcas.com  Voir aussi : Le portail du Sahara occidental :             www.sahara-online.net  Le site de la culture hassanie :             www.sahara-culture.com    Le site des villes du Sahara occidental :              www.sahara-villes.com  Le site du développement économique du Sahara occidental:                                www.sahara-developpement.com   Le site social du Sahara occidental :                               www.sahara-social.com

12 juillet 2012

La résolution 1514 et le conflit du Sahara occidental

Il y a cinquante ans, les longs débats au sein de la commission chargée des questions politiques particulières et de la décolonisation (4ième commission) de l’Assemblée générale de l’ONU, ont conduit à l’adoption de la fameuse résolution 1514, qui énonce la nécessité de mettre fin à l’époque coloniale, en particulier sur les deux continents africain et asiatique. Le Maroc était l’un des pays directement concernés par cette résolution, surtout si on prend en considération le fait que la décolonisation du Maroc qui a progressivement perdu les régions qu’il a toujours possédé, à travers les différents accords franco-espagnols entre 1886-1912, signifie nécessairement le retour de ces régions dans le giron national marocain, conformément aux dispositions de la résolution 1514, publiée le 14 décembre 1960.   Cinq ans après l’adoption de la résolution 1514 par l’Assemblée générale des Nations Unies, une nouvelle résolution, la 2625 a été adopté et a été présenté pendant la séance plénière numéro 1883, le 24 octobre 1970, sur la base des principes du droit international, concernant les relations d’amitié et de coopération entre les Etats conformément à la charte des Nations Unies. Cette annonce insiste de manière particulière, l’importance extrême de "la charte des Nations Unies pour préserver la paix, la sécurité, le développement des relations d’amitié et la coopération entre les pays", d’autre part "convaincu que la conformité rigoureuse des Etats et leur engagement en faveur de la non ingérence dans les affaires d’aucun autre Etat, est une condition fondamentale pour garantir que les Etats vivent en paix les uns avec les autres, car l’exercice quelque forme que ce soit d’ingérence ne viole pas seulement l’esprit et la lettre de la Charte des Nations Unies, mais mène aussi à l’apparition de situations qui menace nt la paix et la sécurité internationaux".   Certains pays voisins, en plus de ceux qui s’opposent à l’intégrité du Maroc, continuent non seulement d’ignorer l’esprit de la résolution 1514 et la déclaration 2625, mais ils brandissent  le droit à l’autodétermination des habitants du Sahara pour interdire la récupération par le Maroc de son intégrité territoriale.   A l’évocation de la résolution 1514, concernant l’octroi de l’indépendance aux pays et peuples colonisés, les Nations Unies distinguent deux problèmes différents en matière de décolonisation. Les territoires qui au moment d’être colonisés, étaient sans statut juridique international. Dans ces territoires s’applique alors l’autodétermination et l’indépendance.   D’autres territoires représentant une partie intégrante d’un Etat, et il est claire que c’est le cas du Sahara occidental, car tout simplement les relations juridiques entre le Royaume du Maroc et le Sahara occidental remontent à des siècles. Les sultans du Maroc gouvernaient le Sahara occidental, comme ils gouvernaient le reste des territoires marocains. Et ce pouvoir s’est exercé par l’émission de Dahirs. Le champ de ces Dahirs s’est élargi pour englober l’activité économique  à travers la maitrise du commerce et de la production, notamment le domaine de la pêche maritime. Et c’était le secteur dont le monopole était, généralement, réservé aux sujets du sultan, sauf cas exceptionnel où on y renonce en faveur des étrangers. Cela concerne aussi la gestion des ports, concernant leur ouverture ou leur fermeture au commerce extérieur, selon les exigences de la politique nationale.   Les faits historiques et les documents internationaux, entre autres, un accord entre les gouvernements britannique et marocain (signé le 13 mars 1895), sur l’engagement de la partie marocaine à acheter les possessions de la  Société du nord ouest de l’Afrique à Tarfaya, ces sources démontrent que les Etats colonialistes européens reconnaissent deux principes du droit international : la souveraineté du Maroc sur ses territoires, y compris la région du Sahara, ainsi que le principe de la dénomination de peuple marocain du nord à la partie sud du Royaume vers les frontières mauritaniennes. Sur le plan pratique, le peuple marocain a lutté dans toutes les régions du Royaume, y compris les Sahraouis, depuis des décennies, pour récupérer l’intégrité de leur pays. Et malheureusement, un petit groupe de séparatistes sahraouis a été soutenu par les pays voisins pour créer la tension dans la région et arrêter le processus d’accomplissement de l’intégrité territoriale du Royaume du Maroc.   En revenant aux décisions de l’Assemblée générale des Nations Unies, depuis le début des années 60, on peut constater que conformément à toutes les résolutions, l’Espagne a du s’adresser directement au Maroc pour la décolonisation dans la région. Dans le même cadre, le Maroc a fournit tout l’effort pour revendiquer la récupération de cette région de la part de l’administration coloniale espagnole, après son indépendance incomplète en 1956. A commencer par le discours historique de feu Mohammed V, en 1958, à 1960 quand une délégation marocaine présidée par le prince héritier à l’époque, le prince Moulay Hassan, a officiellement présenté aux Nations Unies, pendant la réunion de l’Assemblée générale des Nations Unies, une demande sur la nécessité de mettre fin à la colonisation du Sahara et son retour tout naturel au Royaume du Maroc.   Il est d’autre part connu dans l’histoire contemporaine marocaine, que de nombreux Sahraouis ont combattu contre la présence coloniale espagnole au Sahara, ce qui les a obligé à fuir vers les autres régions et villes du Maroc, en particulier Sidi Ifni et Tarfaya, qui constituaient le prolongement géographique de la région du Sahara occupé par l’Espagne….   En prenant en considération les faits historiques cités ci-dessus, la résolution 1514 des Nations Unies, nécessite une lecture précise, qui permet de conclure que toute mise en panne de l’unité nationale du Maroc est une chose qui est en opposition avec la Charte des Nations Unies, tel qu’il y fait référence dans le paragraphe 6 de la résolution 1514 : "Toute tentative visant à détruire partiellement ou totalement l’unité nationale et l’intégrité territoriale d’un pays est incompatible avec les buts et les principes de la charte des Nations Unies". Et cela concerne assurément le cas du Maroc  colonisé par deux puissances coloniales principales (la France et l’Espagne), qui a été obligé de lutter sur des décennies pour récupérer son intégrité territoriale nationale contre les colonisateurs européens.   Sources : le site politique du Sahara occidental :              www.corcas.com Voir aussi : Le portail du Sahara occidental :             www.sahara-online.net  Le site de la culture hassanie :             www.sahara-culture.com    Le site des villes du Sahara occidental :              www.sahara-villes.com  Le site du développement économique du Sahara occidental:                                www.sahara-developpement.com   Le site social du Sahara occidental :                               www.sahara-social.com

22 mai 2012

La résolution 1514 et le conflit du Sahara occidental

Il y a cinquante ans, les longs débats au sein de la commission chargée des questions politiques particulières et de la décolonisation (4ième commission) de l’Assemblée générale de l’ONU, ont conduit à l’adoption de la fameuse résolution 1514, qui énonce la nécessité de mettre fin à l’époque coloniale, en particulier sur les deux continents africain et asiatique. Le Maroc était l’un des pays directement concernés par cette résolution, surtout si on prend en considération le fait que la décolonisation du Maroc qui a progressivement perdu les régions qu’il a toujours possédé, à travers les différents accords franco-espagnols entre 1886-1912, signifie nécessairement le retour de ces régions dans le giron national marocain, conformément aux dispositions de la résolution 1514, publiée le 14 décembre 1960.   Cinq ans après l’adoption de la résolution 1514 par l’Assemblée générale des Nations Unies, une nouvelle résolution, la 2625 a été adopté et a été présenté pendant la séance plénière numéro 1883, le 24 octobre 1970, sur la base des principes du droit international, concernant les relations d’amitié et de coopération entre les Etats conformément à la charte des Nations Unies. Cette annonce insiste de manière particulière, l’importance extrême de "la charte des Nations Unies pour préserver la paix, la sécurité, le développement des relations d’amitié et la coopération entre les pays", d’autre part "convaincu que la conformité rigoureuse des Etats et leur engagement en faveur de la non ingérence dans les affaires d’aucun autre Etat, est une condition fondamentale pour garantir que les Etats vivent en paix les uns avec les autres, car l’exercice quelque forme que ce soit d’ingérence ne viole pas seulement l’esprit et la lettre de la Charte des Nations Unies, mais mène aussi à l’apparition de situations qui menace nt la paix et la sécurité internationaux".   Certains pays voisins, en plus de ceux qui s’opposent à l’intégrité du Maroc, continuent non seulement d’ignorer l’esprit de la résolution 1514 et la déclaration 2625, mais ils brandissent  le droit à l’autodétermination des habitants du Sahara pour interdire la récupération par le Maroc de son intégrité territoriale.   A l’évocation de la résolution 1514, concernant l’octroi de l’indépendance aux pays et peuples colonisés, les Nations Unies distinguent deux problèmes différents en matière de décolonisation. Les territoires qui au moment d’être colonisés, étaient sans statut juridique international. Dans ces territoires s’applique alors l’autodétermination et l’indépendance.   D’autres territoires représentant une partie intégrante d’un Etat, et il est claire que c’est le cas du Sahara occidental, car tout simplement les relations juridiques entre le Royaume du Maroc et le Sahara occidental remontent à des siècles. Les sultans du Maroc gouvernaient le Sahara occidental, comme ils gouvernaient le reste des territoires marocains. Et ce pouvoir s’est exercé par l’émission de Dahirs. Le champ de ces Dahirs s’est élargi pour englober l’activité économique  à travers la maitrise du commerce et de la production, notamment le domaine de la pêche maritime. Et c’était le secteur dont le monopole était, généralement, réservé aux sujets du sultan, sauf cas exceptionnel où on y renonce en faveur des étrangers. Cela concerne aussi la gestion des ports, concernant leur ouverture ou leur fermeture au commerce extérieur, selon les exigences de la politique nationale.   Les faits historiques et les documents internationaux, entre autres, un accord entre les gouvernements britannique et marocain (signé le 13 mars 1895), sur l’engagement de la partie marocaine à acheter les possessions de la  Société du nord ouest de l’Afrique à Tarfaya, ces sources démontrent que les Etats colonialistes européens reconnaissent deux principes du droit international : la souveraineté du Maroc sur ses territoires, y compris la région du Sahara, ainsi que le principe de la dénomination de peuple marocain du nord à la partie sud du Royaume vers les frontières mauritaniennes. Sur le plan pratique, le peuple marocain a lutté dans toutes les régions du Royaume, y compris les Sahraouis, depuis des décennies, pour récupérer l’intégrité de leur pays. Et malheureusement, un petit groupe de séparatistes sahraouis a été soutenu par les pays voisins pour créer la tension dans la région et arrêter le processus d’accomplissement de l’intégrité territoriale du Royaume du Maroc.   En revenant aux décisions de l’Assemblée générale des Nations Unies, depuis le début des années 60, on peut constater que conformément à toutes les résolutions, l’Espagne a du s’adresser directement au Maroc pour la décolonisation dans la région. Dans le même cadre, le Maroc a fournit tout l’effort pour revendiquer la récupération de cette région de la part de l’administration coloniale espagnole, après son indépendance incomplète en 1956. A commencer par le discours historique de feu Mohammed V, en 1958, à 1960 quand une délégation marocaine présidée par le prince héritier à l’époque, le prince Moulay Hassan, a officiellement présenté aux Nations Unies, pendant la réunion de l’Assemblée générale des Nations Unies, une demande sur la nécessité de mettre fin à la colonisation du Sahara et son retour tout naturel au Royaume du Maroc.   Il est d’autre part connu dans l’histoire contemporaine marocaine, que de nombreux Sahraouis ont combattu contre la présence coloniale espagnole au Sahara, ce qui les a obligé à fuir vers les autres régions et villes du Maroc, en particulier Sidi Ifni et Tarfaya, qui constituaient le prolongement géographique de la région du Sahara occupé par l’Espagne….   En prenant en considération les faits historiques cités ci-dessus, la résolution 1514 des Nations Unies, nécessite une lecture précise, qui permet de conclure que toute mise en panne de l’unité nationale du Maroc est une chose qui est en opposition avec la Charte des Nations Unies, tel qu’il y fait référence dans le paragraphe 6 de la résolution 1514 : "Toute tentative visant à détruire partiellement ou totalement l’unité nationale et l’intégrité territoriale d’un pays est incompatible avec les buts et les principes de la charte des Nations Unies". Et cela concerne assurément le cas du Maroc  colonisé par deux puissances coloniales principales (la France et l’Espagne), qui a été obligé de lutter sur des décennies pour récupérer son intégrité territoriale nationale contre les colonisateurs européens.   Sources : le site politique du Sahara occidental :              www.corcas.com Voir aussi : Le portail du Sahara occidental :             www.sahara-online.net  Le site de la culture hassanie :             www.sahara-culture.com    Le site des villes du Sahara occidental :              www.sahara-villes.com  Le site du développement économique du Sahara occidental:                                www.sahara-developpement.com   Le site social du Sahara occidental :                               www.sahara-social.com

22 mai 2012

Le Maroc poursuivra sa coopération avec le SG de l'ONU et la Minurso malgré le retrait de sa confiance à Christopher Ross

Le Maroc poursuivra sa coopération avec le secrétaire général de l'ONU et avec la Minurso pour trouver une solution à la question du Sahara, après le retrait de sa confiance à Christopher Ross, a affirmé lundi le ministre délégué auprès du ministre des Affaires étrangères et de la coopération, Youssef Amrani.

"Le Maroc restera engagé, avec sérieux et bonne foi, dans les initiatives et les efforts de l'ONU pour dépasser l'impasse et mettre fin à la situation actuelle, sur la base de l'initiative d'autonomie et dans le respect total de la souveraineté et de l'intégrité territoriale du Royaume", a indiqué M. Amrani en réponse à une question à la Chambre des représentants sur les développements de la question du Sahara, après l'annonce par le Maroc du retrait de sa confiance à l'envoyé personnel du secrétaire général de l'ONU pour le Sahara.

"Le Maroc, a-t-il ajouté, s'attachera à la mise en œuvre de la résolution 2044 du Conseil de sécurité, qui reste grâce aux efforts de la diplomatie marocaine satisfaisante et équilibrée".

Le ministre délégué a répété que pour le Maroc, le Sahara est une "question de souveraineté nationale et d'unité territoriale".

Le Maroc, tout en s'engageant avec sérieux et bonne foi dans les efforts de l'ONU visant à trouver une solution politique à la question du Sahara, reste attaché à la défense de la marocanité de son Sahara, fort en cela de la légitimité de ses droits et de sa souveraineté sur ses provinces du sud, a insisté M. Amrani.

Il a précisé que "la diplomatie marocaine, ainsi que toutes les forces vives de la Nation, se sont toujours opposés avec fermeté à toute tentative de porter atteinte aux intérêts du royaume, ainsi qu'à toute dérive ou dépassement, quel qu'en soient les auteurs".

Selon le ministre délégué, la question du Sahara traverse actuellement une étape importante, qui a nécessité une évaluation totale des développements de ce dossier au niveau de l'ONU, laquelle évaluation a montré les dérives inacceptables du dernier rapport du secrétaire général des Nations Unies "qui a utilisé pour la première fois une terminologie provocatrice et a fait une analyse déséquilibrée de la situation en vue de dénaturer le mandat de la MINURSO et politiser ses activités".

"Cette évaluation, a-t-il ajouté, a également fait ressortir un manque de perspective dans la recherche d'une solution, étant donné que les réunions et les rounds se succèdent et se ressemblent sans aucun progrès sur le fond, à cause du manque de vision et la persistance à ignorer les questions substantielles et à enliser le processus dans des questions marginales loin des critères et paramètres établis par les résolutions du conseil de sécurité de l'ONU.

M. Amrani a relevé que M. Ross "s'est éloigné de la logique de neutralité et d'objectivité que doit observer tout médiateur et ce, en dépit des rappels à l'ordre et des mises en garde que lui a lancés le Maroc depuis plusieurs mois.

Il a ainsi persisté dans ses agissements et ses initiatives contraires à la mission que lui a confiée le secrétaire général de l'ONU".

Le ministre délégué auprès du ministre des Affaires étrangères et de la Coopération a réitéré que "le Maroc, qui s'est impliqué de façon positive dans les efforts de l'ONU visant à faire aboutir le processus politique et a participé de bonne foi au processus de négociations, continuera d'œuvrer, avec la même détermination, en vue de trouver une solution politique, consensuelle, réaliste et durable, sur la base de la proposition d'autonomie et dans le cadre de sa souveraineté et de son intégrité territoriale".

Sources : le site politique du Sahara occidental :              www.corcas.com  Voir aussi : Le portail du Sahara occidental :             www.sahara-online.net  Le site de la culture hassanie :             www.sahara-culture.com    Le site des villes du Sahara occidental :              www.sahara-villes.com  Le site du développement économique du Sahara occidental:                                www.sahara-developpement.com   Le site social du Sahara occidental :                               www.sahara-social.com

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29 décembre 2010

La résolution 1514 et le conflit du Sahara occidental

Il y a cinquante ans, les longs débats au sein de la commission chargée des questions politiques particulières et de la décolonisation (4ième commission) de l’Assemblée générale de l’ONU, ont conduit à l’adoption de la fameuse résolution 1514, qui énonce la nécessité de mettre fin à l’époque coloniale, en particulier sur les deux continents africain et asiatique. Le Maroc était l’un des pays directement concernés par cette résolution, surtout si on prend en considération le fait que la décolonisation du Maroc qui a progressivement perdu les régions qu’il a toujours possédé, à travers les différents accords franco-espagnols entre 1886-1912, signifie nécessairement le retour de ces régions dans le giron national marocain, conformément aux dispositions de la résolution 1514, publiée le 14 décembre 1960.

Cinq ans après l’adoption de la résolution 1514 par l’Assemblée générale des Nations Unies, une nouvelle résolution, la 2625 a été adopté et a été présenté pendant la séance plénière numéro 1883, le 24 octobre 1970, sur la base des principes du droit international, concernant les relations d’amitié et de coopération entre les Etats conformément à la charte des Nations Unies. Cette annonce insiste de manière particulière, l’importance extrême de "la charte des Nations Unies pour préserver la paix, la sécurité, le développement des relations d’amitié et la coopération entre les pays", d’autre part "convaincu que la conformité rigoureuse des Etats et leur engagement en faveur de la non ingérence dans les affaires d’aucun autre Etat, est une condition fondamentale pour garantir que les Etats vivent en paix les uns avec les autres, car l’exercice quelque forme que ce soit d’ingérence ne viole pas seulement l’esprit et la lettre de la Charte des Nations Unies, mais mène aussi à l’apparition de situations qui menace
nt la paix et la sécurité internationaux".

Certains pays voisins, en plus de ceux qui s’opposent à l’intégrité du Maroc, continuent non seulement d’ignorer l’esprit de la résolution 1514 et la déclaration 2625, mais ils brandissent  le droit à l’autodétermination des habitants du Sahara pour interdire la récupération par le Maroc de son intégrité territoriale.

A l’évocation de la résolution 1514, concernant l’octroi de l’indépendance aux pays et peuples colonisés, les Nations Unies distinguent deux problèmes différents en matière de décolonisation. Les territoires qui au moment d’être colonisés, étaient sans statut juridique international. Dans ces territoires s’applique alors l’autodétermination et l’indépendance.

D’autres territoires représentant une partie intégrante d’un Etat, et il est claire que c’est le cas du Sahara occidental, car tout simplement les relations juridiques entre le Royaume du Maroc et le Sahara occidental remontent à des siècles. Les sultans du Maroc gouvernaient le Sahara occidental, comme ils gouvernaient le reste des territoires marocains. Et ce pouvoir s’est exercé par l’émission de Dahirs. Le champ de ces Dahirs s’est élargi pour englober l’activité économique  à travers la maitrise du commerce et de la production, notamment le domaine de la pêche maritime. Et c’était le secteur dont le monopole était, généralement, réservé aux sujets du sultan, sauf cas exceptionnel où on y renonce en faveur des étrangers. Cela concerne aussi la gestion des ports, concernant leur ouverture ou leur fermeture au commerce extérieur, selon les exigences de la politique nationale.

Les faits historiques et les documents internationaux, entre autres, un accord entre les gouvernements britannique et marocain (signé le 13 mars 1895), sur l’engagement de la partie marocaine à acheter les possessions de la  Société du nord ouest de l’Afrique à Tarfaya, ces sources démontrent que les Etats colonialistes européens reconnaissent deux principes du droit international : la souveraineté du Maroc sur ses territoires, y compris la région du Sahara, ainsi que le principe de la dénomination de peuple marocain du nord à la partie sud du Royaume vers les frontières mauritaniennes. Sur le plan pratique, le peuple marocain a lutté dans toutes les régions du Royaume, y compris les Sahraouis, depuis des décennies, pour récupérer l’intégrité de leur pays. Et malheureusement, un petit groupe de séparatistes sahraouis a été soutenu par les pays voisins pour créer la tension dans la région et arrêter le processus d’accomplissement de l’intégrité territoriale du Royaume du Maroc.

En revenant aux décisions de l’Assemblée générale des Nations Unies, depuis le début des années 60, on peut constater que conformément à toutes les résolutions, l’Espagne a du s’adresser directement au Maroc pour la décolonisation dans la région. Dans le même cadre, le Maroc a fournit tout l’effort pour revendiquer la récupération de cette région de la part de l’administration coloniale espagnole, après son indépendance incomplète en 1956. A commencer par le discours historique de feu Mohammed V, en 1958, à 1960 quand une délégation marocaine présidée par le prince héritier à l’époque, le prince Moulay Hassan, a officiellement présenté aux Nations Unies, pendant la réunion de l’Assemblée générale des Nations Unies, une demande sur la nécessité de mettre fin à la colonisation du Sahara et son retour tout naturel au Royaume du Maroc.

Il est d’autre part connu dans l’histoire contemporaine marocaine, que de nombreux Sahraouis ont combattu contre la présence coloniale espagnole au Sahara, ce qui les a obligé à fuir vers les autres régions et villes du Maroc, en particulier Sidi Ifni et Tarfaya, qui constituaient le prolongement géographique de la région du Sahara occupé par l’Espagne….

En prenant en considération les faits historiques cités ci-dessus, la résolution 1514 des Nations Unies, nécessite une lecture précise, qui permet de conclure que toute mise en panne de l’unité nationale du Maroc est une chose qui est en opposition avec la Charte des Nations Unies, tel qu’il y fait référence dans le paragraphe 6 de la résolution 1514 : "Toute tentative visant à détruire partiellement ou totalement l’unité nationale et l’intégrité territoriale d’un pays est incompatible avec les buts et les principes de la charte des Nations Unies". Et cela concerne assurément le cas du Maroc  colonisé par deux puissances coloniales principales (la France et l’Espagne), qui a été obligé de lutter sur des décennies pour récupérer son intégrité territoriale nationale contre les colonisateurs européens.

Sources : le site politique du Sahara occidental : 
            www.corcas.com
Voir aussi : Le portail du Sahara occidental :
            www.sahara-online.net 
Le site de la culture hassanie :
            www.sahara-culture.com   
Le site des villes du Sahara occidental : 
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La résolution sur la décolonisation (1514)
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